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DeeGreen, la dernière génération d’imprimantes 3D de chez be3D

Publié le 14 mars 2014 par Alex M.

C’est aujourd’hui que se termine le CeBIT, le plus grand salon international dédié aux nouvelles technologies qui se tient depuis 1986 à Hanovre en Allemagne. C’est à cette occasion que le constructeur be3D a décidé de dévoiler son dernier modèle d’imprimante 3D : la DeeGreen.

L'imprimante 3D DeeGreen en action

L’imprimante 3D DeeGreen en action

Sur son site, be3D présente la DeeGreen comme une imprimante 3D écologique, sans toutefois détailler plus de précisions. Ce que l’on sait par contre, c’est que la DeeGreen est une imprimante de bureau rapide, avec une vitesse deux fois plus rapide que ses ainées, à 90mm/s, et un volume d’impression plutôt restreint de 150x150x150 mm (un peu plus grand qu’une Up! Plus 2). Elle sera capable d’imprimer des couches de l’ordre de 100 microns mais à partir de PLA uniquement.

Facile d’utilisation, la DeeGreen est équipée d’un système de calibrage automatique, d’un écran de contrôle tactile et d’une chambre d’impression fermée pour optimiser le dépôt de la matière. Côté connectivité, les modèles peuvent être envoyés à l’imprimante par USB ou via une carte SD. Ses dimensions seront de 495 x 395 x 390 mm pour un poids total de 18kg.

La DeeGreen est déjà proposée en pré-commande sur le site du constructeur et devrait être commercialisée au prix initial de $1 829 soit un peu plus de 1 300€.

Depuis sa création en 2012, le fabricant d’origine tchèque a déjà lancé deux modèles, la DeeOrange, une imprimante 3D personnelle, et la DeeRed, une machine professionnelle proposant un large volume d’impression. « Nous avons énormément appris depuis la DeeOrange, notre première imprimante. Alors que nous testions les améliorations que nous pouvions lui apporter, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il serait mieux de fabriquer une toute nouvelle machine. Le développement de la DeeGreen a commencé en Novembre 2013 et depuis nous nous sommes efforcés de tester la nouvelle tête d’impression et notre système amélioré de dépôt de matière. Grâce à notre réseau de distributeurs, nous nous sommes significativement étendus ces derniers mois. » explique le fondateur de be3D, David Miklas.

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