Reposant sur la technologie brevetée FluidFM, la FluidFM µ3Dprinter est une imprimante 3D qui permet de créer des pièces métalliques complexes avec une résolution de l’ordre du micron. Elle a été développée par le fabricant suisse CytoSurge – que nous avions d’ailleurs rencontré lors de la sortie de la machine en 2017. Son objectif est de concevoir une multitude d’applications de nanotechnologie, que ce soit pour le secteur de la biologie cellulaire par exemple mais également de la science du vivant de façon plus large.

Les caractéristiques de la FluidFM µ3Dprinter

Cette imprimante 3D professionnelle permet de créer des pièces en métal à l’échelle micrométrique et submicrométrique, que ce soit avec du cuivre, de l’argent, ou de l’aluminum. Elle est facile à utiliser et prête à l’emploi : elle intègre notamment une caméra et un écran de contrôle afin de faciliter le processus d’impression et permette à l’utilisateur de surveiller son processus d’impression. L’imprimante 3D permet d’imprimer des pièces pouvant aller jusqu’à 100 x 70 x 60 mm. Par ailleurs, elle offre une épaisseur d’impression de 0,05 mm et une précision XY de 0,25 mm. La machine est équipée du logiciel FluidFM CAPA. Il permet de modéliser les pièces en 3D rapidement et efficacement. L’élément central de la technologie FluidFM est une micro-pipette mobile montée sur un ressort à lame qui va pouvoir se positionner de façon extrêmement précise. Contrairement aux pipettes traditionnelles, la technologie FluidFM va mesurer et contrôler les forces que la pipette exerce sur une surface. C’est cette pipette qui va distribuer le liquide, rempli d’ions métalliques, nécessaire à la fabrication de la pièce en métal.