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Quelles ont été les tendances de l’impression 3D en 2025 ?

Alors que la fin de l’année approche, il est temps de faire une pause pour analyser ce qui a réellement défini l’industrie de la fabrication additive en 2025. Nous pouvons d’ores et déjà vous dire que cette année a été marquée par une maturité technologique, mais aussi par une reconfiguration du marché. L’équilibre du marché a changé, plusieurs applications se sont consolidées et nous avons observé une évolution claire vers une utilisation réelle de la technologie. C’est pourquoi, dans cet article, nous passons en revue les principales tendances qui ont marqué l’impression 3D en 2025 et les mettons en perspective afin de comprendre comment l’industrie a changé par rapport à l’année dernière et où elle se dirige.

L’année dernière, nous avions signalé une période « sombre » pour le marché de la fabrication additive, marquée principalement par d’intenses mouvements parmi les acteurs clés de l’industrie. On peut citer, par exemple, les affrontements entre Stratasys et Bambu Lab, les acquisitions de Markforged et Desktop Metal par Nano Dimension. Cependant, ce contexte a servi de prélude à ce que nous avons vu en 2025. Une année au cours de laquelle le marché a commencé à se réorganiser, où certaines applications ont démontré leur viabilité réelle et où tous les acteurs n’ont pas réussi à s’adapter au nouveau scénario.

Le stand de Bambu Lab au salon Formnext 2025. L’entreprise continue de se développer dans le secteur de l’impression 3D de bureau. (crédits photo : 3Dnatives).

Dans le même temps, les tendances qui se dessinaient déjà l’année dernière se sont fortement consolidées. La Chine a renforcé son rôle d’acteur central sur le marché, de grands fabricants tels que Stratasys, HP et Raise3D ont élargi leur offre à de nouveaux matériaux et des secteurs stratégiques tels que la défense et l’aérospatiale ont confirmé que la fabrication additive avait définitivement dépassé le stade expérimental. Dans ce contexte, la question n’est plus de savoir si l’industrie reste dans un environnement « morose », mais plutôt quel type d’industrie émerge après cette période d’ajustement.

La sélection naturelle du marché de la fabrication additive

Que serait l’industrie de la fabrication additive sans ses hauts et ses bas ? 2025 a sans aucun doute été une année de profonde reconfiguration des entreprises, et peu d’histoires l’illustrent mieux que celles de Nano Dimension, Desktop Metal et Markforged. Après avoir annoncé en 2024 son intention d’acquérir Desktop Metal et Markforged, Nano Dimension a finalisé ces deux opérations en 2025, non sans controverse.

Dans le cas de Desktop Metal, le processus a été marqué par un conflit juridique. L’entreprise a déposé une plainte alléguant que Nano Dimension n’avait pas respecté ses obligations réglementaires dans les délais impartis, notamment en ce qui concerne l’approbation du CFIUS, dans un contexte d’instabilité interne suite au licenciement de son CEO de l’époque, Yoav Stern. Le litige s’est prolongé jusqu’au début de l’année 2025, avec des audiences accélérées et un procès prévu en mars, avant que l’acquisition ne soit définitivement conclue le 2 avril 2025.

Parallèlement, Nano Dimension a connu une période d’instabilité au niveau de sa direction. Fin 2024, l’entreprise a licencié Yoav Stern après cinq ans à sa tête. Julien Lederman a pris le poste de PDG par intérim, suivi en avril 2025 par la nomination d’Ofir Baharav comme nouveau directeur général, avec pour objectif d’accélérer l’intégration de Desktop Metal et Markforged. Cependant, cette étape a été de courte durée. Ofir Baharav a quitté ses fonctions en septembre 2025 et, quelques mois plus tard, Nano Dimension a nommé David Stelhin comme nouveau PDG.

De son côté, Desktop Metal a traversé sa période la plus critique en mars 2025, lorsqu’elle s’est placée sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites afin de restructurer sa dette. Dans le cadre de ce processus, l’entreprise a commencé à vendre plusieurs de ses filiales internationales les plus emblématiques, notamment ExOne et EnvisionTEC, dans le but de stabiliser ses opérations et de préserver une partie de son activité technologique.

En 2025, Nano Dimension a finalisé l’acquisition de Desktop Metal et Markforged (crédits photo : Nano Dimension).

L’impact de ces décisions s’est reflété dans les résultats financiers de Nano Dimension à la fin de l’année 2025. La société a clôturé le troisième trimestre avec un chiffre d’affaires de 26,9 millions de dollars, contre 14,9 millions pour la même période l’année précédente. Une grande partie de cette croissance, soit 17,5 millions de dollars, a été directement attribuée à l’acquisition de Markforged, tandis que Desktop Metal a été comptabilisée comme une activité abandonnée, après sa faillite et sa déconsolidation ultérieure. Il ne fait aucun doute que les changements opérés par la société au cours de l’année dernière ont eu un coût élevé. Mais ces changements confirment également que l’industrie de la fabrication additive est toujours en phase de réorganisation ou de « sélection naturelle », dans laquelle tous les acteurs ne parviennent pas à s’adapter au même rythme.

Un autre remaniement observé cette année concerne BCN3D Technologies. Le fabricant espagnol d’imprimantes FFF industrielles a également traversé plusieurs mois d’incertitude en 2025 lorsqu’il s’est déclaré en faillite. Cela s’est produit après avoir échoué à restructurer sa dette malgré sa reconnaissance technologique et plusieurs investissements publics et privés. Cependant, le processus a abouti à l’acquisition de ses actifs et de ses activités par Quantum, un nouveau groupe d’investisseurs qui a garanti la continuité de l’activité et de l’équipe. Cette nouvelle étape vise désormais à mettre en place une structure plus agile et orientée vers la consolidation de la position de BCN3D dans les applications industrielles légères.

Enfin, un autre changement qui a fait beaucoup de bruit en 2025 a été le retrait du marché d’Arburg. Le fabricant allemand, connu pour ses machines à granulés Freeformer, a justifié son départ par le contexte économique complexe et la nécessité de se recentrer sur son activité principale : le moulage par injection. Son départ du marché de la fabrication additive sera officiel à compter du 31 décembre, mais l’entreprise continuera à offrir une assistance technique, des pièces de rechange et la continuité du service aux utilisateurs actuels.

L’entreprise Arburg s’est retirée du marché de la fabrication additive (crédits photo : Arburg).

Les événements de 2025 nous montrent que la fabrication additive traverse une phase d’ajustement structurel plutôt que d’expansion. Cependant, cette année peut être considérée comme une année de sélection au cours de laquelle le marché commence à définir quels seront les acteurs qui mèneront la prochaine étape de la fabrication additive.

La diversification des fabricants d’imprimantes 3D

Une autre tendance claire que nous avons observée en 2025 a été le changement de stratégie de certains des fabricants du marché. Stratasys, HP et Raise3D ont commencé à élargir leur offre vers de nouvelles technologies. Stratasys a franchi une étape stratégique en entrant officiellement dans le domaine des métaux et des céramiques grâce à un partenariat avec Tritone Technologies, propriétaire de la technologie MoldJet. Ce procédé permet de créer des pièces métalliques et céramiques à haute densité à partir de moules imprimés en plastique, combinant l’expertise de Stratasys dans le domaine des polymères et la capacité de production industrielle de Tritone.

Avec ce pari, Stratasys cherche à répondre à la demande de ses clients, en particulier dans des secteurs tels que la défense, et l’aérospatiale qui ont besoin de solutions combinant polymères et métaux dans un même écosystème.

De son côté, HP a surpris à Formnext avec sa première plateforme d’impression 3D à filament industriel, la HP IF 600HT, conçue pour les matériaux à haute température et les environnements à haute performance tels que l’aérospatiale et la défense. Cette initiative reflète l’intention de HP d’élargir son portefeuille au-delà du procédé Multi Jet Fusion, en proposant des solutions pour des applications exigeantes qui nécessitent des pièces complexes et durables.

À gauche, la nouvelle imprimante SLS de Raise3D. (Crédits : Raise3D). À droite, la nouvelle solution de filaments de HP. (Crédits : HP AM Solutions).

Dans cette même optique de diversification, Raise3D a également franchi une étape stratégique importante en 2025 avec le lancement de sa première imprimante SLS, la RMS220. Le fabricant, reconnu pour ses imprimantes FDM professionnelles et, plus récemment, pour ses systèmes résine, a annoncé son entrée dans le domaine du frittage sélectif par laser lors du salon TCT Asia. Avec ce lancement, l’entreprise cherche à se positionner comme un acteur multitechnologique dans le segment professionnel, en proposant des solutions à base de filaments, de résine et de SLS.

Ces changements de stratégie montrent clairement que les grands fabricants cherchent à fournir des solutions complètes, capables de couvrir tous les besoins de l’industrie en matière de fabrication additive.

Le marché chinois affirme son positionnement

Le label « Fabriqué en Chine » n’a plus la même signification qu’il y a vingt ans, et l’industrie de la fabrication additive en est la preuve évidente. La Chine s’est imposée comme l’un des principaux acteurs du secteur grâce à sa capacité technologique et à une ambition mondiale bien orchestrée.

Formnext a bien reflété cette situation. La présence des fabricants asiatiques a de nouveau été dominante, dépassant largement celle des entreprises américaines, bien que les États-Unis soient historiquement le berceau de la fabrication additive. Lors de la précédente édition, Formnext comptait 53 exposants américains contre 101 chinois. En 2025, bien que le salon ait légèrement réduit le nombre total d’exposants, la tendance s’est maintenue. 54 entreprises américaines contre 95 chinoises. Autrement dit, moins d’exposants en général, mais une présence asiatique proportionnellement encore plus importante.

Dans ce contexte, Bambu Lab s’est imposé comme l’un des noms les plus influents du secteur. Il est devenu une sorte de célébrité dans le monde de l’impression 3D. Même si sa croissance était prévisible, 2025 a été une année importante pour le fabricant chinois, qui a lancé ses imprimantes 3D de bureau les plus performantes à ce jour : la H2D et la H2S. Son succès n’est pas le fruit du hasard. Bambu Lab a su combiner améliorations techniques, facilité d’utilisation et proposition de valeur très compétitive, rendant l’impression 3D véritablement accessible à un large public.

Bambu Lab a attiré tous les regards lors du salon Formnext 2025 en présentant ses dernières solutions. (crédits photo : 3Dnatives).

L’entreprise est non seulement devenue l’une des marques les plus populaires auprès de la communauté des makers, mais elle a également réussi à pénétrer les milieux industriels, éducatifs et même de nouveaux publics, tels que les enfants et les jeunes qui découvrent la technologie grâce à ses machines. À cela s’ajoute une stratégie commerciale que nous n’avions jamais vue auparavant sur le marché de l’impression 3D. Nous parlons de l’ouverture d’un magasin physique en Chine afin d’accroître la visibilité de la marque et de renforcer sa proximité avec les utilisateurs.

En 2025, l’influence de Bambu Lab n’a fait que se confirmer. Son parcours reflète une tendance à la demande de solutions fiables, intuitives et d’un bon rapport qualité-prix. Une tendance qui reste un moteur clé du marché, obligeant d’autres fabricants à repenser leur positionnement et leur stratégie.

La croissance des fabricants asiatiques ne se limite pas au marché des imprimantes 3D de bureau. Aujourd’hui, plusieurs entreprises asiatiques ont renforcé leur présence dans le secteur industriel et commencent à concurrencer des technologies qui, il y a encore quelques années, étaient dominées par un petit nombre d’acteurs occidentaux. Les solutions de fusion par faisceau d’électrons (EBM) en sont un exemple flagrant. Une technologie qui était autrefois l’apanage d’Arcam et qui voit aujourd’hui l’arrivée d’entreprises asiatiques telles que QBeam, Xi’an Sailong Metal ou JEOL, qui possèdent une expérience dans d’autres systèmes à faisceau d’électrons.

À cela s’ajoute le renforcement des capacités dans d’autres technologies métalliques par des acteurs consolidés tels que Farsoon, E-Plus-3D ou BLT, qui continuent d’élargir leur portefeuille de solutions, d’améliorer la fiabilité de leurs systèmes et de gagner du terrain dans des secteurs industriels exigeants.

Maturité technologique dans des secteurs critiques

En 2025, les secteurs de la défense et de l’aérospatiale ont montré comment la fabrication additive dépasse désormais le stade du prototypage pour s’imposer dans des applications réelles et très exigeantes. Une tendance que nous avons également pu observer dans les allées du salon Formnext cette année.

Dans le domaine de la défense, le contexte géopolitique actuel a joué un rôle déterminant. Les conflits actifs et les tensions internationales ont conduit de nombreux pays à renforcer leurs capacités militaires et à se préparer à des scénarios de conflit. Dans ce contexte, la fabrication additive est devenue un outil stratégique. Tout au long de l’année, nous avons assisté à une augmentation des achats d’imprimantes industrielles par les organismes gouvernementaux, en particulier aux États-Unis, ainsi qu’à des collaborations avec des fournisseurs de services d’impression 3D pour des applications militaires.

Le secteur de la défense est celui qui a connu la plus forte croissance en matière de fabrication additive en 2025

Ce tournant stratégique est apparu encore plus clairement avec l’adoption, il y a quelques jours à peine, du National Defense Authorization Act (NDAA) aux États-Unis. Ce texte marque un tournant pour la fabrication avancée, car pour la première fois, la fabrication additive est officiellement reconnue comme une infrastructure critique au sein du département de la Défense et est soumise à des normes claires en matière de sécurité, de traçabilité, de certification et d’évolutivité. Les implications de cette décision sont profondes, car elles affectent directement la manière dont les pièces sont conçues, validées, produites et entretenues dans des domaines tels que la défense, l’aéronautique, les opérations navales et les systèmes terrestres.

L’un des points les plus significatifs de cette législation est la redéfinition des exigences de confiance en matière de défense. La NDAA interdit au ministère de la Défense d’utiliser des systèmes de fabrication additive fabriqués, développés ou connectés à des entités de pays tels que la Chine, la Russie, l’Iran ou la Corée du Nord. Cette mesure renforce le caractère stratégique de l’impression 3D dans le domaine de la défense et aura certainement un impact direct sur les décisions technologiques et l’équilibre du marché.

Cette nouvelle situation confirme que la fabrication additive fait désormais partie intégrante du secteur industriel de la défense et n’est plus seulement un outil d’expérimentation.

Dans le secteur aérospatial, la maturité de l’impression 3D s’est particulièrement concrétisée dans la fabrication de moteurs et de composants critiques. En 2025, plusieurs entreprises ont testé et validé des moteurs de fusée intégrant des pièces imprimées en 3D dans des systèmes réels. Des cas tels que ceux de New Frontier Aerospace, POLARIS Spaceplanes, AVIO SpA ou Agnikul Cosmos démontrent que la fabrication additive est désormais une technologie pleinement intégrée dans les programmes aérospatiaux. Ces progrès ont été rendus possibles grâce à l’évolution des solutions métalliques, capables de produire des pièces résistantes aux températures élevées et aux contraintes mécaniques extrêmes.

Le rêve d’imprimer en apesanteur reste également d’actualité. Après la première impression 3D métallique dans l’espace réalisée par l’ESA fin 2024, de nombreux tests supplémentaires ont été effectués en 2025 afin de valider les matériaux et les processus pouvant fonctionner en microgravité. Une tendance qui se poursuivra sans aucun doute en 2026, selon les communiqués de projets tels que celui de l’université d’Auburn, aux États-Unis, qui prévoit d’imprimer des semi-conducteurs en apesanteur l’année prochaine.

Les essais de moteurs de fusée imprimés en 3D se sont multipliés.

Contrastes entre les secteurs

L’année dernière, en 2024, nous avons mis l’accent sur toutes les actualités concernant l’impression 3D alimentaire. Nous vous avons régulièrement informé d’un nouveau projet, d’une nouvelle entreprise ou d’une nouvelle recherche visant à introduire cette technologie dans les cuisines. Cependant, cette application semble avoir marqué une pause en 2025. Nous ne nions pas que les développements se poursuivent, car nous avons souligné certains nouveaux projets de recherche pour l’alimentation des personnes souffrant de dysphagie, par exemple, mais il semble que l’impression 3D dans le secteur alimentaire ne progresse plus au même rythme que les années précédentes.

En revanche, la construction reste une application en pleine croissance et de plus en plus mature. Cette année, on a observé une forte tendance vers les matériaux durables, avec des mélanges recyclés ou à faible impact environnemental. Une approche qui cherche à répondre à la tendance mondiale de l’économie circulaire.

Une entreprise du secteur de la construction qui s’est distinguée cette année est Caracol. Cette entreprise italienne spécialisée dans la fabrication additive robotisée à grande échelle a levé 40 millions de dollars. Grâce à cet investissement, l’entreprise souhaite désormais accélérer son expansion mondiale, notamment aux États-Unis, dans l’Union européenne et au Moyen-Orient.

Crédits photo : Caracol

Pour clôturer l’année, nous pouvons dire que 2025 a été une période de maturité et d’ajustement pour la fabrication additive. L’industrie a consolidé des applications réelles, diversifié les matériaux et assisté à une reconfiguration des acteurs clés, montrant que l’impression 3D évolue vers des solutions complètes et adaptées aux besoins industriels. Nous resterons attentifs pour vous informer de toutes les nouveautés que 2026 nous réserve !

Que pensez-vous des tendances de l’impression 3D en 2025 ? Que pensez-vous voir en 2026 ? Partagez votre avis dans les commentaires de l’article. Retrouvez toutes nos vidéos sur notre chaîne YouTube ou suivez-nous sur Facebook ou LinkedIn !

Mélanie W.

Diplômée de l'Université Paris Dauphine, je suis passionnée par l'écriture et la communication. J'aime découvrir toutes les nouveautés technologiques de notre société digitale et aime les partager. Je considère l'impression 3D comme une avancée technologique majeure touchant la majorité des secteurs. C'est d'ailleurs ce qui fait toute sa richesse.

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Publié par
Mélanie W.

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