Fondé en 2014, VELO3D s’est donné pour objectif d’offrir un nouveau niveau de liberté de conception dans la fabrication additive métal. Au fil des ans, la société a permis aux ingénieurs de produire des pièces qui étaient auparavant considérées comme impossibles à fabriquer en utilisant des méthodes traditionnelles. Pour ce faire, le fabricant a développé un système appelé Sapphire, basé sur la technologie de fusion laser sur lit de poudre et un logiciel, baptisé Flow. Afin d’en savoir plus sur l’entreprise, nous avons décidé d’avoir notre deuxième interview # TALK3D avec Benny Buller, le fondateur et CEO de VELO3D !
Vous le savez sûrement : l’impression 3D métal s’est progressivement éloignée des applications de prototypage rapide ces dernières années. À mesure que l’industrie a mûri, la technologie a commencé à être utilisée pour la production de pièces finies et est même en cours d’adoption pour la fabrication à l’échelle industrielle. Néanmoins, il reste quelques contraintes à son adoption plus globale, dont la conception et l’assurance de la qualité de la pièce imprimée en 3D. L’imprimante 3D Sapphire de VELO3D, combinée à son logiciel de pré-impression, est capable de produire des pièces métalliques très détaillées qui seraient impossibles à produire sur les systèmes conventionnels de fusion laser. La technologie derrière ce système a été appelée IntelligentFusion.
Des pièces métal imprimées en 3D par VELO3D sans support (crédits photo : VELO3D)
Selon le fabricant, les ingénieurs sont constamment freinés par les contraintes de conception, les déformations, les propriétés incohérentes des matériaux, la mauvaise qualité de surface, une insuffisante précision dimensionnelle et le faible rendement. Ce qui différencie VELO3D des autres fabricants d’imprimantes 3D métal est sans doute son offre IntelligentFusion, qui apporte une simulation du processus, une détection basée sur la géométrie et un contrôle en boucle fermée.
Plus précisément, la fonction de simulation du processus est capable de prédire un résultat d’impression en simulant une déformation d’impression complète de pièces complexes. La détection basée sur la géométrie permet d’imprimer à de faibles angles sans utiliser de supports d’impression. De plus, des processus spécialisés ont été conçus pour minimiser les distorsions thermomécaniques et garantir des surfaces de haute qualité à des angles de construction aussi bas que cinq degrés. Enfin et surtout, la fonction de contrôle en boucle fermée est un processus en temps réel qui réduit la variabilité de l’impression, garantissant que le paramètre de construction est surveillé et contrôlé tout au long du processus d’impression.
On vous invite donc à regarder notre interview #TALK3D avec Benny Buller qui présente la technologie derrière VELO3D, les ambitions de l’entreprise et ses projets :
Retrouvez notre précédent #TALK3D ICI.
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