TOP 5 des vidéos de la semaine : Nexa3D et Henkel développent un matériau médical…

Cette semaine, découvrez le nouveau matériau d’impression 3D développé par Nexa3D et Henkel : les deux partenaires ont conçu une résine polymère adaptée pour le secteur médical notamment. Vous pourrez aussi en savoir plus sur la Metal X, une imprimante 3D développée par Markforged, idéale pour la production de pièces d’outillage à faible coûts. On vous propose également de découvrir une solution de post-traitement qui permet d’économiser un temps précieux pendant la phase de dépoudrage d’une pièce imprimée en 3D. On vous souhaite à tous un bon dimanche !

TOP 1 : Un nouveau thermoplastique pour le secteur médical : Le fabricant de machines SLA Nexa3D et le chimiste Henkel ont développé cette semaine un matériau semblable au polypropylène qui est à la fois très résistant et biocompatible, le rendant idéal pour la conception de dispositifs médicaux. C’est un polymère qui a été approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour une utilisation clinique aux Etats-Unis. Ce matériau a été baptisé xMED412 et est compatible avec les imprimantes 3D résine de Nexa3D :

TOP 2 : Une machine pour optimiser le post-traitement : Additive Manufacturing Technologies a développé une solution de post-traitement baptisée AMT’S POSTPRODP PRO. Celle-ci permet de dépoudrer une pièce c’est-à-dire de retirer tout l’excès de poudre qui entoure la pièce après impression. Le processus étant automatisé et géré par un robot, l’utilisateur peut ainsi gagner du temps en se consacrant à autre chose. La machine a été certifiée ATEX, respectant bien les normes de sécurité – on parle quand même de manipulation de poudres. Le panier de la machine peut contenir jusqu’à 20 litres et mesure 500 x 320 mm. Le post-traitement n’aura jamais été aussi facile !

TOP 3 : Un polypropylène pour la fabrication additive : Les entreprises Titan Robotics, Ltd. et Braskem viennent de signer un partenariat stratégique pour développer un polypropylène imprimable en 3D à partir des granulés du chimiste brésilien. Ceux-ci ont été optimisés pour l’impression 3D de grandes pièces. Titan Robotics est un fabricant américain à l’origine de l’Atlas, une machine grand format qui propose un volume d’impression de 1067 x 1067 x 1220 mm. Elle est aujourd’hui compatible avec des granulés plastiques et des filaments. Jusqu’ici, il était très difficile de concevoir de larges pièces en PP car c’est un matériau qui adhère peu à la surface du plateau, entre les couches et qui doit être gérer thermiquement de façon très rigoureuse :

TOP 4 : Les caractéristiques de la Metal X : Vous connaissez probablement tous le fabricant Markforged pour ses imprimantes 3D composites, ayant commencé à se développer sur le marché américain grâce à cette expertise. Il s’est toutefois lancé dans l’impression 3D métallique avec le lancement de la Metal X qui a été pensée pour réduire les coûts de cette technologie historiquement chère. Le distributeur 3DZ nous explique dans la vidéo ci-dessous les différentes spécificités et caractéristiques de cette imprimante 3D qui s’appuie sur le procédé MIM :

TOP 5 : Impression 3D alimentaire : La chaîne de radio RMC est revenue sur la décision de KF de bio-imprimer en 3D ses futurs nuggets dans une récente émission. On vous en parlait d’ailleurs cette semaine : la chaîne de fast-food américaine utilisera des cellules souches de volailles ainsi que des plantes pour créer une bio-encre qui servira de matière pour imprimer les fameux nuggets. Elle affirme qu’ils auront le même goût, la même apparence et la même texture que les originaux. RMC en profite pour faire un petit tour des initiatives dans le monde, écoutez ça vaut le coup !

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